Il était une fois un stage de chant dans une montagne du Vercors avec une hutte de sudation au milieu…

Des petits groupes en immersion s’y retrouvaient pendant trois jours et 2 nuits pour explorer leur voix(es) et déposer ce qu’ils ne voulaient pas, ce qu’ils ne voulaient plus; chacun ayant sa place dans cette tribu.

2 poules, une licorne et sa famille, un chien décomplexé, des chats chipeurs et quelques puces, rythmaient la vie des groupes en immersion, qui s’autorisaient une bière locale, le soir, pour faire fonctionner les surrénales…

Un village dans les nuages, une vue panoramique permettant de chanter pour les quatre directions!

Quant à la hutte de sudation? l’histoire ne raconte pas ce qu’il s’y passe, et aucun cliché n’en a été retrouvé…

On sait juste qu’elle commence à partir du moment ou l’on à décidé d’y aller .

J’ai aussi entendu dire, mais ne le dites à personne, que la hutte, son feu, son eau et ses pierres, enseignent plus que n’importe quelle fable ou autres publication face book.

Il parait aussi que l’humilité des gardiens compte dans les enseignements, le non jugement…

Alors chanter dans ces conditions, avec des outils pour la voix accessibles et transformateurs, des répertoires et des tambours invitant à l’expression de soi et à l’improvisation, permet apparemment de sortir grandi, fort autant que vulnérable et relié à plus grand que soi..